Le texte de ma question écrite :
Questions :
- Un recensement de la renouée du Japon a-t-il été effectué à Woluwe-Saint-Pierre ?
– Si oui, quels sont les résultats de ce recensement ?
– Si non, envisagez-vous de lancer un tel recensement prochainement ? - Quelles sont les stratégies actuelles de lutte contre la renouée du Japon mises en place par la commune de Woluwe-Saint-Pierre ?
– Utilisez-vous des méthodes mécaniques, chimiques ou biologiques pour contrôler cette plante invasive ? - Y a-t-il des collaborations avec d’autres communes ou organisations ou Bruxelles Environnement pour combattre la renouée du Japon de manière plus efficace ?
- Quels sont les moyens alloués par la commune pour la lutte contre cette plante invasive (budget, personnel, équipements) ?
- La commune prévoit-elle des campagnes de sensibilisation et d’information pour les habitants concernant les nuisances engendrées par la renouée du Japon et les moyens de la combattre ?
D’avance, je vous remercie pour vos réponses.
→ Réponse reçue le 18 juillet 2024 : lisez-là ici ou sur le site internet de la commune.
Illustration des faits :
La presse britannique parle des impacts négatifs significatifs de la renouée du Japon sur l’immobilier au Royaume-Uni. Cette plante invasive peut pousser à travers le béton et le bitume, ce qui peut endommager les fondations des bâtiments, les trottoirs et les routes. Les propriétés infestées par le renouée du Japon peuvent voir leur valeur diminuer de manière significative, et il peut être difficile d’obtenir un prêt hypothécaire ou une assurance pour ces bien.
Les acheteurs potentiels peuvent être dissuadés par la présence de cette plante, en raison des coûts élevés et des efforts nécessaires pour l’éradiquer. En conséquence, la vente de propriétés touchées peut être retardée, et les propriétaires peuvent être confrontés à des coûts de réparation et de traitement substantiels.
